Le drapeau des Machinistes au sommet du mont Kilimanjaro!

Le drapeau des Machinistes au sommet du mont Kilimanjaro!



De gauche à droite : Le président général du district 140 de l’AIMTA, Michel Pelot, tient fièrement le drapeau des Machinistes du Québec au sommet du mont Kilimanjaro avec Robert Piché.

Michel Pelot, Regional Assistant Director, IAMAW District 140

Michel Pelot, Directeur Adjoint Régional, District 140

Mont Kilimanjaro, Tanzanie – Michel Pelot voit la couverture nuageuse très différemment que dans le passé, mais encore le fait d’escalader la quatrième montagne la plus haute de la planète tend à changer votre perspective des hauteurs. À la fin de septembre, Pelot s’est joint à d’autres aventuriers de même esprit pour escalader sur sept jours le mont Kilimanjaro, en Tanzanie, dans le cadre d’une levée de fonds au bénéfice de la Fondation Robert Piché. « J’ai commencé à m’entraîner pour cette ascension en janvier, mais même cet entraînement vigoureux n’a pas préparé mon corps adéquatement à l’effort que cette ascension a exigé de mon corps, explique le président général du district 140 de l’AIMTA. C’est vraiment formidable de marcher au-dessus des nuages, mais votre cœur y bat beaucoup plus rapidement que la normale étant donné que l’air contient 50 % moins d’oxygène. Nous buvions chacun quatre litres d’eau par jour et notre pression sanguine ainsi que notre capacité pulmonaire étaient vérifiées à raison de trois fois par jour. »

L’ascension est limitée à entre cinq et six heures par jour. Les escaladeurs couchent dans des tentes sous les étoiles et au-dessus des nuages où la température peut chuter jusqu’à -27 degrés.

« La dernière journée de l’ascension, il a fallu sept heures pour atteindre le sommet, à une altitude de 19 341 pieds, où Robert Piché et moi-même avons hissé le drapeau de l’AIM. Nous sommes restés brièvement au sommet, à peine 45 minutes, afin de redescendre vers notre camp de base avant le coucher du soleil. »

La Fondation Robert Piché vient en aide à des personnes aux prises avec une dépendance à l’alcool, aux drogues ou au jeu. Cette ascension a permis de recueillir plus de 76 000 $ pour la Fondation. « Ce fut l’expérience d’une vie, explique Pelot avec satisfaction. Je ne verrai plus jamais des nuages du même œil. »

 


Coucher du soleil à une altitude de 15 000 pieds au mont Kilimanjaro


Camp de base juste sous le sommet du mont Kilimanjaro


Après six heures d’escalade, Michel Pelot fait une pause avec le sommet du mont Kilimanjaro en arrière-plan.